C'est bon, les ovaires se réveillent enfin! seulement voilà, plus de spermatozoïdes de disponibles...Au début du traitement on n'évoque jamais les problèmes de fertilité qui peuvent être dus aussi bien à la chimiothérapie qu'à l'hormonothérapie et dans certains cas à la radiothérapie, c'est considéré comme secondaire devant le "combat pour la survie" qu'on est prête à mener...seulement voilà, il y a une vie après le traitement, on se réveille pour redécouvrir sa libido, sa fertilité...les conditions autours ne suivent pas toujours...en plus on a 35 ans...tic tac, tic tac, tic tac...
L'envi d'avoir des enfants est certaine, les pressions sociales et religieuses aussi. Le désir d'enfants doit-il dépasser toutes ces considérations?
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